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- Écrit par : Catherine Privé, M.A.P., CRHA, présidente et chef de la direction Alia Conseil et Jessica Tornare, EMBA, Ph. D. candidate, collaboratrice Alia Conseil et chargée de cours ENAP

Pourquoi parler tant de qualité de vie au travail, outre la performance? Serait-ce pour le fait que nous passons une grande partie de notre vie active à travailler? Si l’on considère que la moyenne de durée de vie au Québec est de 75 ans (pour ceux nés autour de 1980) et que l’on travaille de 20 ans à 65 ans, on espère que le travail est bon pour la santé! Ainsi peut-on choisir un emploi dans lequel on se réalise et une entreprise qui prône des valeurs humaines et qui a des gestionnaires qui savent appliquer de saines pratiques de gestion…
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- Écrit par : Sonia Fillion, B.T.S., M. Ét., chef de pratique santé organisationnelle, associée et Geneviève Schoeb, B.A., candidate au Ph. D., consultante

Tous les jours, les médias nous rapportent de multiples exemples de manifestations de la violence s’exerçant dans les différents milieux de vie, tels que la famille, l’école, le travail et les organisations de loisirs et de sports. Se présentant sous différentes formes, la violence physique, psychologique, sexuelle ou financière est une problématique de société touchant tous les milieux socioéconomiques.
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- Écrit par : Catherine Privé, M.A.P., CRHA, présidente et chef de la direction

Vos préoccupations sont-elles plus lourdes que vos intentions? Les préoccupations sont normales jusqu’à un certain niveau et lorsqu’elles ne prévalent pas sur les intentions. En fait, les préoccupations peuvent nous faire perdre l’énergie nécessaire à l’atteinte des objectifs.
Il est facile pour un gestionnaire de développer un mode de fonctionnement réactif « pompier » et de perdre de vue l’essentiel et l’important. Courriels, textos, réunions et rythme effréné peuvent être des pièges qui font que le gestionnaire reste dans le quotidien. Donnons-nous les moyens d’élever notre jeu!
Il importe donc de connaître quelles sont nos intentions. Pour une semaine, un mois ou une année, le gestionnaire doit savoir ce qui l’habite et les efforts qu’il souhaite investir pour atteindre ces visées.
Plusieurs éléments de contexte peuvent contribuer aux préoccupations professionnelles : surcharge de travail, conflit de rôles, complexité, relations tendues, pression, délais, etc. Le gestionnaire doit savoir gérer ses propres préoccupations pour préserver son impact et aussi être en mesure de voir le niveau de préoccupations dans son équipe de travail. Le fait d’être très alerte et à l’écoute de son équipe permet d’identifier de façon préventive des problématiques qui pourraient dégénérer plus tard sans l’attention du leader.
Certaines personnes gèrent plus facilement le stress lié aux préoccupations et aux événements extérieurs. Il est intéressant de voir comment ces personnes arrivent à faire cela. La capacité à gérer ses préoccupations est une chose, mais cela n’assure pas le réflexe de prendre du recul. Ce réflexe est aussi important, puisqu’il permettra au gestionnaire de voir en avant.
La période estivale peut nous aider à prendre du recul pour faire le point sur nos réalisations et nos intentions pour la prochaine année. En effet, l’été pourrait au moins nous amener un sentiment de liberté favorable à l’idéation et à la réflexion. Vous permettrez-vous des moments libres de préoccupations professionnelles? Ces moments peuvent être si simples, mais trop peu fréquents.
Une autre façon de bien gérer ses préoccupations est de les replacer en fonction de ses priorités. Cette stratégie nous amène à relativiser et à diminuer l’ampleur perçue de nos soucis. Enfin, le gestionnaire peut aider ses collaborateurs à bien gérer leurs préoccupations professionnelles et surtout à les accompagner dans la définition de leurs intentions. C’est une bonne façon de faire grandir ses collaborateurs et de les propulser vers la réussite de leurs projets.
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- Écrit par : Mathieu Senécal, B.A.A., M. Sc. et Mathieu Garon, M.B.A., consultants en développement organisationnel

À la suite de la parution de notre dernier blogue, plusieurs lecteurs ont communiqué avec nous pour nous dire : c’est bien beau d’avoir une structure facilitant l’innovation, mais concrètement, comment fait-on pour innover? Nous avons donc décidé de dédier ce blogue à l’exploration des différentes techniques que tous peuvent utiliser en entreprise afin de favoriser l’émergence d’idées et de pousser la créativité à un autre niveau. Évidemment, en espérant que les conditions nécessaires à l’innovation soient soutenues par des efforts aussi importants que le désir d’innover.
Récemment, nous avons répertorié plus de 90 activités permettant d’exploiter et de libérer le potentiel créatif des équipes de travail. Nous avons décidé d’en partager trois avec vous.
A) Le remue-méninges (brainstorming)