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- Écrit par : David Beaudoin, B.A.A., M. Sc., directeur NVS Learning

Selon Patrick Rivard1, le microapprentissage fait appel à de courtes capsules de 1 à 5 minutes ayant un seul objectif d’apprentissage pour déployer des contenus de formation de manière plus efficiente en termes logistiques (modalités de conception, production, diffusion, etc.) et plus efficace pour les capacités humaines (disponibilité, attention, rétention, transfert, etc.).
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- Écrit par : David Beaudoin, B.A.A., M. Sc., directeur NVS Learning

De plus en plus, on peut affirmer que l’apprentissage en entreprise « éclate ». Éclatement dans l’espace, car l’apprentissage est de moins en moins confiné à la salle de classe ou même à tout autre espace physique. On peut maintenant apprendre de partout : de son poste de travail, de la maison et même en déplacement. Éclatement aussi dans le temps : on parle de plus d’apprentissage en continu, avec des moments de formation plus courts, mais plus fréquents. Éclatement dans les moyens en raison de la multiplication des médiums et des stratégies de formation. Finalement, éclatement dans les rôles avec l’importance grandissante des phénomènes d’apprenants auteurs et de l’apprentissage social et collaboratif.
Comment gérer la formation et le développement en entreprise efficacement dans ce contexte « éclaté », dans lequel les services qui en sont responsables sont soumis à une double pression de faire face à l’accélération du changement et de justifier sa contribution? Une des clés : s’appuyer sur de solides principes qui ont à la fois fait leur preuve et qui offrent une souplesse dans leur mise en place. Voyons lesquels.
Axer les efforts sur la mesure de la performance
Il s’agit ici de s’assurer que les diverses initiatives de formation et de développement résultent bien en une augmentation de la performance. Comment? En s’assurant que chaque initiative déployée comporte au moins un volet « performance », par exemple :
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- Écrit par : David Beaudoin, B.A.A., M. Sc., directeur NVS Learning

Bien que l’utilisation des technologies en formation gagne continuellement en importance, la formation en présence demeure un moyen de formation qui a toujours sa place. En effet, les possibilités offertes par l’interaction des participants entre eux et avec le formateur, les occasions de socialisation, la conception plus rapide, et l’encadrement que ce mode de formation procure sont autant de caractéristiques qui le rendent attrayant, et ce, dans bien des contextes.
Pour des raisons évidentes, il est toutefois important de ne pas tomber dans l’immobilisme en ne déployant dans les classes que des dispositifs ultrarépandus comme les acétates électroniques (PowerPoint pour ne pas le nommer) ou les tableaux amovibles de type « flipchart ». En effet, les employés peuvent exprimer, souvent à juste titre, le souhait de voir autre chose et on peut gagner en efficacité en déployant de nouveaux moyens susceptibles d’améliorer l’intérêt des participants et la rétention.
Alors, que peut-on faire pour augmenter l’efficacité et l’intérêt d’une formation déployée en classe? Voici quelques moyens très intéressants et faciles à mettre en place.
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- Écrit par : Mathieu Khoury, M. Ed., consultant en développement des compétences

On l’a dit, l’apprentissage mobile n’est pas et ne doit pas être perçu comme une version miniaturisée du e learning. Le concepteur averti ne doit pas envisager ces solutions comme différents moyens de diffusion d’un même produit de formation. Il doit plutôt les penser comme des solutions de formation distinctes qui fonctionnent de façon complémentaire dans le cadre d’une stratégie de formation hybride, car à y regarder de près, le e-learning et le m-learning sont plus différents qu’ils ne sont similaires. Chacun a son utilité, ses forces et ses limites.
E-learning et m-learning