- Détails
- Écrit par : Patrick Rivard, M.B.A., CRHA, cofondateur, associé
Dans une économie du savoir et de l'innovation, comme celle dans laquelle nous vivons aujourd'hui, la valeur centrale des organisations est dans l'expertise des personnes qui les composent et dans leur force collaborative pour atteindre les objectifs communs. La capacité à mobiliser les compétences requises, à les faire travailler ensemble et à continuellement les ressourcer constitue dans ce contexte un avantage concurrentiel indéniable.
- Détails
- Écrit par : Ariane Wilhelmy, conseillère
Le Guide Maestro Beta publiait récemment, via le Portail magnétique de formation, un article intitulé « 7 tendances du e-learning en 2016 » qui dressait un portrait des sept (7) tendances à surveiller en 2016 en ce qui a trait au e-learning. L’article mentionne, entre autres, les micros formations, une tendance décrite comme permettant de « granulariser un maximum les contenus de formation » (Guide Maestro Beta, « 7 tendances du e-learning en 2016 »). Voyons de quoi il s’agit plus précisément.
- Détails
- Écrit par : Sonia Fillion, B.T.S., M. Ét., directrice développement des compétences
Les grandes entreprises, interpellées par les opportunités d’affaires que crée l’ouverture des marchés mondiaux, se positionnent de plus en plus sur l’échiquier mondial. Les compagnies minières se développent sur plusieurs continents. De grands projets miniers se réalisent actuellement en Océanie, en Asie, en Afrique et dans les Amériques. Les pays dits émergents développent leurs propres projets afin de créer de la valeur pour leurs sociétés et se tailler une place dans l’économie de marché. Bien que ceux-ci souhaitent exploiter leurs ressources naturelles, plusieurs d’entre eux réalisent qu’ils ne possèdent pas localement les savoirs spécialisés nécessaires au développement et à l’exploitation d’une minière. Il va sans dire que l’acquisition de connaissances et de savoirs spécialisés inhérents à l’exploitation minière par des locaux se révèle critique dans leur quête d’autonomie.
- Détails
- Écrit par : Andrée-Anne Girard, consultante
Les activités de formation peuvent être nombreuses dans nos organisations. Puisque les employés sont au cœur des organisations, on souhaite qu’ils se développent, qu’ils acquièrent de nouvelles habiletés et, par le fait même, que toute l’organisation en bénéficie. Le départ à la retraite d’employés clés, la vulnérabilité de certains savoirs critiques, un changement de procédure de travail, un partage de tâches à instaurer ou tout simplement l’accueil d’un nouvel employé sont toutes des raisons qui justifient, entre autres, des activités de formation.
Par nos interventions chez nos clients, nous constatons rapidement que cette volonté de développer les compétences et le potentiel humain est une préoccupation majeure dans de nombreuses organisations. Pourtant, malgré des formations ciblées qui répondent à des objectifs d’apprentissage bien précis, force est de constater que bien des compétences ainsi apprises ne sont pas réutilisées, une fois l’activité de formation terminée.
Il est donc primordial de se questionner sur les raisons d’un tel constat. Qu’est-ce qui fait qu’entre 60 et 90 % des apprentissages réalisés en formation ne sont pas transférés en milieu de travail?1 Considérant les investissements massifs faits en formation chaque année, on parle de plus d’une centaine de milliards aux États-Unis2, s’intéresser au transfert des apprentissages devrait sans aucun doute être à la base de tout système de gestion des compétences.