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- Écrit par : Sarah Girouard, M. Sc., CRHA, conseillère en développement organisationnel
Avec la pression qui pèse sur les organisations pour une plus grande compétence et une utilisation efficace des connaissances de chacun, on entend de plus en plus dans le discours organisationnel des expressions comme « briser les silos », « collaborer », « utiliser ses contacts », « tirer profit des équipes multidisciplinaires » et j’en passe. Qu’est-ce que cela signifie concrètement?
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- Écrit par : Marie-Ève Bérubé, M.Sc., CRHA, consultante senior, développement organisationnel
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- Écrit par : Sarah Girouard, M. Sc., CRHA, conseillère en développement organisationnel, Alia Conseil
Tout comme chacun possède une façon bien à lui de se comporter, une personnalité unique, chacun possède également une façon personnelle d’apprendre. En fait, le style d’apprentissage représente la manière particulière utilisée et préférée par chacun pour traiter l’information et résoudre les problèmes qu’il rencontre. Connaître son style d’apprentissage pourrait donc permettre de choisir les stratégies d’apprentissage les mieux adaptées pour soi.
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- Écrit par : Catherine Privé, M.A.P., CRHA, présidente et chef de la direction
La connaissance : ensemble de choses connues, du savoir. Pour plusieurs entreprises, certaines personnes ont des connaissances clés, voire critiques. Dans un contexte où des départs à la retraite massifs sont envisagés, il devient essentiel que ces connaissances clés et critiques soient partagées au sein de l’organisation, afin de s’assurer que les opérations puissent continuer au quotidien, mais également que l’organisation soit outillée pour faire face aux défis et enjeux qui l’attendent dans le futur. Or, après 20-25 ans de carrière, les détenteurs de ces connaissances clés et critiques peuvent parfois en venir à un tel automatisme, qu’ils ne réalisent pas nécessairement la valeur précieuse des connaissances qu’ils possèdent. Bien souvent, c’est seulement lorsque la personne a quitté son emploi qu’on s’aperçoit, trop tard, de l’absence d’une partie du casse-tête, d’une connaissance stratégique sans laquelle l’organisation pourrait devenir vulnérable. Ces connaissances peuvent par exemple être liées à des projets, des bonnes pratiques, des contacts professionnels ou encore, tout simplement, à l’historique de l’organisation. La captation de connaissances représente alors une démarche appropriée, permettant de faire ressortir les connaissances tacites, que la personne ne sait plus qu’elle sait.